Dakar, 10 octobre 2002
Les nuits sont chaudes au Sénegal… voici ce que j’ai noté dans mon carnet de voyage hier soir, de retour d’une soirée torride en discothèque.
Folles sont mes pensées envers toi, et brûlant mon désir de te serrer dans ma main, avec une soif de plaisir incontrôlable pour ce que tu m’as fait.
La nuit était chaude et calme, et j’étais dans mon lit quand, subrepticement, tu t’es approché. Tu as frôlé mon corps nu avec ton corps, sans la moindre pudeur. Remarquant mon apparente indifférence, tu t’es pressé contre moi et tu m’as mordu sans scrupule jusqu’à mes plus intimes recoins. Je me suis endormi.
Quand je me suis réveillé, je t’ai cherché avec une ardente avidité,mais en vain. Tu avais laissé sur mon corps et dans les draps des preuves irréfutables de ce qui s’était passé entre nous cette nuit-là.
Cette nuit, je me coucherai plut tôt pour t’attendre dans ce même lit. Quand tu arriveras, je veux t’étreindre avec fougue et impatience. Je veux te serrer avec toute la force de mes mains. Il n’y aura pas un millimètre de ton corps que mes doigts ne toucheront pas. Je n’aurai de répit que lorsque je verrai le sang chaud couler de ton corps.
Ce n’est que comme cela que je t’éclaterai la gueule, saloperie d’enculé de moustique de merde !!!!!!!!!”
Amoul Dara Fi ?!
@+
Cyril le sénégaulois
PS – C’est pas vrai, ce texte n’est pas de moi… mais il traduit un vrai vécu récurrent…